
Les Mardis Polar en août
Polar. nom masculin :
Désigne, dans les domaines de la littérature et du cinéma, une œuvre dont l’intrigue est policière. Le polar est souvent sombre.
En août, chaque mardi, l’équipe du Ciné vous a sélectionné 4 polars aux esthétismes et aux horizons variés…
Laissez-vous embarquer dans cette “saga policière”…
Assaut
Première étape >>> Direction le Kazakhstan !
L’alliance réussie entre un suspense au cordeau et un humour tranchant ! Assaut vous plonge dans une prise d’otage en pleine tempête de neige… Le seul espoir des otages tient à sa bande de pieds nickelés incapables de manier les armes, dépourvus du moindre sens pratique, quand leur meneur binoclard se gargarise de « pragmatisme »…
Séance en VOST
Mardi 8 août 20h
Limbo
Deuxième arrêt en Chine… Et plus particulièrement dans les ruelles sombres d’Hong-Kong avec ce polar qui ne vous laissera pas de marbre !
Plébiscité dans de nombreux festivals de Cinéma, c’est une hallucination noire et blanche venue de Hong Kong, comme un cauchemar éveillé et humide signé Soi Cheang, styliste de l’extrême, de la douleur et de la putréfaction…
Séance en VOST · Interdit aux – de 16 ans
Mardi 15 août 20h
Le Samouraï
Retour en France où on remonte le temps avec ce classique restauré !
Le Samouraï est une référence pour de nombreux cinéastes, parmi lesquels John Woo et Jim Jarmusch, dont les films respectifs, The Killer et Ghost Dog: la voie du samourai, s’inspirent plus ou moins ouvertement. A ceux-ci s’ajoutent Quentin Tarantino, Joel Coen, Michael Mann ou encore Johnnie To (qui voue un véritable culte au Samouraï). Toutefois, s’ils n’hésitent pas à reprendre les motifs du film de Melville, ceux-ci recourent néanmoins à des principes de mise en scène radicalement opposés. Le style du cinéaste étant à l’inverse une ode à l’épure semblable aux estampes japonaises.
Mardi 22 août 20h
Les Meutes
Enfin dernière étape de l’autre côté de la Méditerranée dans les faubourgs de Casablanca.
Un premier film qui a séduit de le Jury Cannois dans la sélection Un certain regard. Si Les Meutes n’est pas une franche comédie, il comporte une ironie souterraine. Kamal Lazraq y a ainsi injecté du burlesque et une dimension absurde.